Leplus beau village: Holtzwihr, ça tourne et ça tourne Ăcouter. Ăcouter (02min) Facebook. Twitter. Sms. Mail. Le plus beau village. Du lundi au vendredi Ă 11h50, 15h30 et 18h50 Par Guyl'essentiel Plusieurs scĂšnes dâun court-mĂ©trage intitulĂ© "Tout ne va pas si mal" sont en train dâĂȘtre tournĂ©es dans le centre-ville dâAgen. le tournage durera jusquâĂ vendredi. La prĂ©fecture du dĂ©partement va de nouveau servir de cadre Ă un film de cinĂ©ma. En effet, le rĂ©alisateur Nicolas Novak a choisi Agen pour son court-mĂ©trage "Tout ne va pas si mal". "Il avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© sur des tournages Ă Agen, avec une autre casquette, celle de directeur de production. Quand il a lancĂ© son projet, il nous a tout de suite contactĂ©s", explique HervĂ© Bonnet, le directeur du Bureau dâaccueil de tournage BAT47. Depuis ce lundi soir, les camĂ©ras du rĂ©alisateur donnent vie Ă lâhistoire dâAlicia et de Teddy, deux jeunes dans la vingtaine qui se rencontrent un soir pour la premiĂšre fois dans un snackbar aprĂšs avoir discutĂ© sur Internet. "Tour Ă tour, les personnalitĂ©s se dĂ©voilent, et chacun apprĂ©hende le regard de lâautreâŠ", confie le BAT47. En effet, ce film entend aborder la question du racisme social Ă lâheure des sites de rencontre en ligne, "avec une grande finesse et sans manichĂ©isme". Un dĂ©partement de cinĂ©ma Qui dit rencontre au bar, dit tournage au bar, le lieu nâest pas encore dĂ©voilĂ©, mais cela aura lieu Ă Agen. Dâailleurs, HervĂ© Bonnet assure aux Agenais quâils pourront reconnaĂźtre leur ville dans les plans de "Tout ne se passe pas si mal". Et ce nâest pas la premiĂšre fois que la ville prĂ©fecture sert ainsi de dĂ©cor Ă une Ćuvre cinĂ©matographique. Souvenez-vous, en 2017, câest ici que StĂ©phane BrizĂ© avait tournĂ© son long-mĂ©trage "En guerre", avec Vincent Lindon. Plus gĂ©nĂ©ralement, le Lot-et-Garonne sĂ©duit de plus en plus les rĂ©alisateurs. "Rien que cette annĂ©e, nous aurons peut-ĂȘtre trois longs-mĂ©trages tournĂ©s dans le dĂ©partement", se rĂ©jouit le directeur du BAT47. Et le tournage de "Jour de gloire", film unique en son genre, tournĂ© et diffusĂ© en temps rĂ©el sur ArteTV, au soir du second tour de lâĂ©lection prĂ©sidentielle, a marquĂ© un virage dans la stratĂ©gie du Bureau dâaccueil des tournages, comme lâexplique HervĂ© Bonnet. "Traditionnellement, on fait plutĂŽt du long-mĂ©trage, mais on cherche Ă se diversifier, avec des fictions TV et des sĂ©ries", dĂ©taille ce dernier. Le BAT47 hĂ©berge aussi des artistes dans le cadre de rĂ©sidences dâĂ©criture au mois dâaoĂ»t full circle lab. Un cercle vertueux qui parvient Ă faire Ă©clore de beaux projets sur le territoire. "2022 sera une trĂšs bonne annĂ©e pour le cinĂ©ma lot-et-garonnais", se satisfait-il. Le fruit dâun travail dâune dĂ©cennie au service des projets cinĂ©matographiques. "Je pense quâaujourdâhui, notre savoir-faire est reconnu", conclut le directeur du Bureau dâaccueil de tournage en Lot-et-Garonne HervĂ© Bonnet.
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Asseyez-vous confortablement, lâĂ©cole de cirque Le Nez dans les Ă©toiles pourrait bien vous mettre des Ă©toiles plein les yeux. Chapiteau dressĂ©, parquet vissĂ©, spectacles rĂ©visĂ©s, la tournĂ©e de lâĂ©cole de cirque berruyĂšre est plus que bien lancĂ©e. Tous les deux ans, on se met en condition itinĂ©rante, rĂ©sume Ingrid Diard, directrice. Câest une partie essentielle de la culture circassienne, la vie en collectivitĂ©. On sĂ©lectionne les numĂ©ros les plus aboutis parmi nos 250 Ă©lĂšves de tout Ăąge et on part pour cinq jours plutĂŽt intenses. » VoilĂ comment toute une troupe de quatorze artistes quinze le soir puisque lâune des membres travaille la journĂ©e et dâune smala de bĂ©nĂ©voles au diapason a investi le stade de BrĂ©cy mercredi et jeudi avant de prendre la direction de Levet oĂč deux nouvelles reprĂ©sentations auront lieu demain et dimanche. Aujourdâhui, en revanche, journĂ©e off »⊠mais pas de repos pour autant. On transporte tout le matĂ©riel, câest une logistique trĂšs lourde », confie la directrice. Alors, forcĂ©ment, pour construire, ranger ou trier le matĂ©riel, on a beau ĂȘtre un as du monocycle ou du trapĂšze, on participe Ă lâinstallation du campement comme tout le monde. La tournĂ©e de l'Ă©cole du cirque de Bourges le Nez dans les Ă©toiles » dĂ©bute le 13 juillet On aide comme on peut, expliquent Ămilie et Judith dont les numĂ©ros de tissu aĂ©rien et de trapĂšze ont Ă©tĂ© retenus. On peut donner un coup de main en cuisine, dĂ©charger le camion, il faut ĂȘtre polyvalent. » Les fortes chaleurs de ces derniers jours ne les ont pas freinĂ©es. Ă choisir, on prĂ©fĂšre ça que de la pluie. » Avant mĂȘme les reprĂ©sentations du soir, tout semble rĂ©glĂ© comme du papier Ă musique. Câest une vraie petite ruche », convient Ăric Villatte, prĂ©sident de lâassociation qui dĂ©cline une organisation hiĂ©rarchisĂ©e. Au sommet du chapiteau, Ingrid Diard joue les funambules et Ă©tend la banniĂšre de lâassociation. Julien et sa certification de monteur de chapiteau gĂšre les travaux que GuĂ©rino Simonelli, Ă lâorigine de lâĂ©cole en 1997, ne manque pas de superviser. Enfin, en bon animateur, Sacha Simonelli dispense ordres et conseils Ă qui veut bien entendre⊠mĂȘme si Louis, jeune artiste du monocycle de 15 ans, Ă©vite la tĂąche en bon acrobate Il y a assez de monde, sourit-il, on ne va pas sâentasser. » En tout, deux heures et demie sont nĂ©cessaires uniquement pour monter ce fameux chapiteau central qui peut accueillir jusquâĂ 200 personnes. Recevez par mail notre newsletter loisirs et retrouvez les idĂ©es de sorties et d'activitĂ©s dans votre rĂ©gion. Comme de nombreux autres Ă©vĂ©nements, cette tournĂ©e a dĂ» baisser pavillon en 2020 et 2021 pour cause dâĂ©pidĂ©mie de Covid-19. La derniĂšre remonte donc Ă trois ans. De quoi voir une majoritĂ© de nouveaux venus pour cette huitiĂšme Ă©dition depuis 2006. Le Nez dans les Ă©toiles, câest de 6 Ă 77 ans, rappelle en premier lieu Ingrid Diard. Mais il est certain quâaux alentours de 18 ans, on en perd beaucoup au profit des Ă©tudes, oĂč les possibilitĂ©s sont plus rares Ă Bourges. Et forcĂ©ment, la technique est plus aboutie pour les jeunes de 15 ans qui ont parfois dĂ©jĂ 10 ans de cirque derriĂšre eux. » Ă lâĂ©noncĂ© des pratiques jouĂ©es devant le public, la dĂ©cennie dâentraĂźnement ne paraĂźt pas ĂȘtre de trop antipodisme, cercle aĂ©rien, trapĂšze, monocycle, corde amĂ©ricaine, rouleau amĂ©ricain et autres⊠Dans la famille circassienne, on demande souplesse, agilitĂ© et Ă©quilibre, rien que ça. Mais paradoxalement, cette partie physique nâapparaĂźt pas au sommet des vertus de la discipline. Nous sommes plus proches de la culture que du sport, explique Ăric Villatte. Certes, câest trĂšs physique et il faut beaucoup de travail mais la mise en scĂšne reste primordiale. Ăa mĂ©lange les costumes, les lumiĂšres ou les musiques. Une technique moindre mais une mise en scĂšne irrĂ©prochable rendra mieux que lâinverse. » Il nâempĂȘche que la performance reste au cĆur de cette virĂ©e itinĂ©rante. Câest Ă elle que chacun doit sa prĂ©sence. Trouver ses limites et les dĂ©passer intervient alors comme un mot dâordre pour ceux dont les numĂ©ros ont Ă©tĂ© retenus. Câest une rĂ©compense. Savoir quâon fait du bon travail, ça fait plaisir », rĂ©sumait MattĂ©o, monocycliste lui aussi. Toujours dans cette discipline du vĂ©lo monoroue, Maxime revient sur le mode dâentraĂźnement au cirque Câest un entraĂźnement une fois par semaine, dâenviron une heure et demie depuis dix ans. Moi, câest le mercredi mais Louis, avec qui je fais le spectacle, câest le samedi. Donc, on a improvisĂ© un numĂ©ro. » De la franche camaraderie Lâoccasion est trop belle pour ne pas en profiter. Vivre une vie circassienne dans sa forme la plus Ă©purĂ©e reste peu commun. Ămilie, en train de gonfler le matelas dans sa tente, revient sur lâesprit dâĂ©quipe, plus visible que jamais dans cette tournĂ©e On se connaĂźt plus ou moins tous, mais lĂ , câest vraiment lâoccasion de se fĂ©dĂ©rer tous ensemble. On a bien prĂ©parĂ© ça, on a posĂ© des affiches ensemble, on sâest entraĂźnĂ© devant certaines Ă©coles de BrĂ©cy et Levet pour ĂȘtre prĂȘts. » Le terme colonie de vacances est Ă©videmment Ă bannir mais la franche camaraderie est palpable au contact des adolescents, et encore ce nâest rien en comparaison de la clĂŽture de la semaine. Souvent, on a des pleurs Ă la fin, se remĂ©more BĂ©atrice, prĂ©sente, depuis deux dĂ©cennies dans lâassociation avec ses enfants dĂ©sormais grands. Câest tellement intense physiquement et Ă©motionnellement, ce ne sont que de bons souvenirs. » Aujourdâhui concentrĂ©e sur la tĂąche alimentaire, BĂ©atrice, monocycliste Ă ses heures perdues, ne galvaude pas son rĂŽle. On fait des menus Ă©quilibrĂ©s avec des produits frais, des lĂ©gumes et des fruits. Câest important. » Le premier soir, spaghettis bolognaises au menu, avant la reprĂ©sentation. Un peu lourd ? Quand on appelle Ă table, vers 18 h 45 câest dans lâinstant, rigole Ingrid Diard. Ceci dit, il faut quâils prennent des forces. » Souvent, on a des pleurs Ă la fin. Câest aussi intense Ă©motionnellement » Tentes, cuisines mais aussi hygiĂšne Ă prendre en compte. DâoĂč des recherches de lieu lĂ aussi travaillĂ©es bien en amont. Toilettes et douches doivent ĂȘtre prĂ©sentes, rien de mieux dĂšs lors que les stades. Bruno MarĂ©chal, maire de Levet a, en tout cas, optĂ© pour cette solution Habituellement je refuse les cirques car il y a souvent des dĂ©gĂąts au moment du dĂ©part. Mais pour lâĂ©cole de cirque de Bourges, on a acceptĂ©. On a mis Ă disposition le terrain dâentraĂźnement et les vestiaires. AprĂšs le 14 juillet, ça permet de faire vivre un beau week-end Ă la commune. » Les visiteurs ont parfois une mĂ©connaissance totale de ce monde du cirque. Une donnĂ©e assez rare pour les nouveaux participants. On a lâhabitude de faire quelques galas Ă chaque fin dâannĂ©e, rappelle Hippolyte mais câest souvent des parents ou des anciens qui nous regardent. Certains ont fait des comitĂ©s dâentreprise ou des passages devant le public des basketteuses de Bourges mais ça reste trĂšs rare. » Ăa apporte le lot dâadrĂ©naline quâil faut pour se surpasser, note de son cĂŽtĂ© Ăric Villatte. Les recettes de la tournĂ©e permettront la rĂ©alisation de futurs Ă©vĂ©nements. Un avenir plutĂŽt radieux au vu du dynamisme des jeunes enfants prĂ©sents, toujours prĂȘts Ă crapahuter Ă droite ou Ă gauche et imiter leurs aĂźnĂ©s. Les enfants de la balle⊠Matis Rapacioli Photos Matis Rapacioli et fournies par le nez dans les Ă©toiles * Ăcole de cirque de Bourges 34 Bis rue Henri Sellier. Dates Levet. Au stade, route de Saint-Germain-des-Bois. Samedi 16 Ă 20 heures et dimanche 17 Ă 15 heures. Tarif adulte 7 euros. Tarif enfant 4 euros. Infos et rĂ©servations au
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AprÚsdeux concerts à la basilique de Cherbourg, Laurent Voulzy jouera « sa 200e » ce vendredi 22 avril 2022 à Saint-LÎ. Il revient pour nous sur cette tournée exceptionnelle.