JoĂ«lBouchard sur les ondes du @919sports avec @LPGeek et Gilbert Delorme «Ça a Ă©tĂ© le plus beau congĂ©diement de l’histoire» qu’il a dit. J’adore gars-lĂ mais je ne suis pas
Tous les jours, une personnalitĂ© s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Aujourd’hui, la chanteuse, autrice et compositrice, Zaz. AprĂšs la sortie d’un cinquiĂšme album "Isa" en octobre 2021, Zaz part en tournĂ©e. Zaz est chanteuse, autrice et compositrice. C'est la chanson Je veux sortie en 2010, qui l'a propulsĂ©e sur le devant de la scĂšne, d'abord en France, puis rapidement dans le monde entier. Pendant 20 ans, elle a vĂ©cu Ă  cent Ă  l’heure puis le confinement est arrivĂ© et elle a dĂ©cidĂ©, faute de pouvoir le faire avant, de s'occuper d'elle et de prendre des cours de danse et de chant. Ce nouveau rapport au corps a donnĂ© naissance, en octobre 2021, Ă  un nouvel album qui lui ressemble Isa et Ă  une tournĂ©e dans toute la France. franceinfo On l'a compris, c'est votre album le plus personnel, celui qui vous reprĂ©sente le plus. Zaz C'est celui qui me ressembe le plus aujourd'hui. Chaque album me ressemblait au moment et Ă  l'endroit oĂč j'Ă©tais, oui. C'est une bonne façon de montrer la femme que vous ĂȘtes devenue. On sent que vous prenez de plus en plus de plaisir. J'ai dĂ©couvert pas mal de choses. Avant le confinement, j'avais dĂ©jĂ  choisi de m'arrĂȘter donc c'Ă©tait quand mĂȘme un choix. Je pense que je suis allĂ©e m'occuper d'Isa, de choses que j'avais besoin de remettre en question. J'ai changĂ© tout un tas de choses et j'ai trouvĂ© plus de nuances, plus de douceur, plus de bienveillance. Par la force des choses, d'ailleurs ! On a l'impression que vous avez appris Ă  dĂ©chanter pour mieux chanter. "Ce qui sort de ta voix, c'est ce que tu es et j'avais un peu comme une perte d'identitĂ©." Je savais qui Ă©tait Zaz, mais Isa, je ne savais plus trop. J'ai dĂ» me rĂ©approprier mes sensations, mon corps, apprendre aussi Ă  vivre juste avec moi. Et j'ai pris des cours de théùtre, de chant, d'Ă©criture. J'ai testĂ© des choses. Je suis allĂ©e Ă  l'intĂ©rieur pour trouver des espaces, pour trouver d'autres chemins, d'autres maniĂšres, d'autres articulations. Je vais quand mĂȘme Ă  mon objectif puisque je suis comme je suis, tĂȘtue, mais avec une forme de rĂ©silience et je trouve d'autres chemins sans aller taper dans le mur et me faire mal. C'est vrai que vous avez une autre façon de chanter sur cet album. C'est beaucoup plus doux, beaucoup plus posĂ©, beaucoup plus serein. Oui. J'y travaille ! J'avoue que parfois j'arrive et je recommence un peu Ă  brailler, mais... Oui, j'ai dĂ©cidĂ© de prendre plus de plaisir, d'ĂȘtre moins aussi dans la volontĂ© d'aller chercher quelque chose Ă  l'extĂ©rieur tout le temps. Zaz Ă©tait beaucoup dans "Je veux sauver le monde". Je veux contribuer Ă  le changer, mais je ne veux plus le sauver, je ne veux plus porter des choses qui ne m'appartiennent pas. Et puis, j'ai cette espĂšce d'exigence aussi un peu surhumaine alors, j'apprends Ă  me calmer, Ă  accepter quand j'arrive moins bien Ă  faire les choses, Ă  me dire je ferai mieux tout Ă  l'heure, demain, ce n'est pas grave, c'est toujours moi. Vous aviez une armure pour vous protĂ©ger. Garçon manquĂ©, la fĂ©minitĂ© vous la mettiez un peu de cĂŽtĂ©. On sentait qu'il y avait ce besoin de ne pas tomber, de vous protĂ©ger. J'ai fait mes armes pour survivre car je me suis construite sur un schĂ©ma assez dysfonctionnel. Pendant la pause, j'ai dĂ» revoir mĂȘme des choses qui forgent ma personnalitĂ©. J'ai dĂ» casser des croyances. C'est difficile parce que tu ne sais plus, tu dois lĂącher prise, mais tu ne sais pas lĂącher prise. Tu veux t'accrocher Ă  des choses, mais tu ne peux pas t'accrocher parce que les anciens trucs, ça ne marche pas non plus. Et dans un mĂȘme temps, si je veux vivre ma vie et ĂȘtre libre, il faut bien que j'accepte ce truc-lĂ , mais entre la tĂȘte et le corps, parfois, il y a des mondes. Entre ce que tu sais intellectuellement et l'incarner, il y a lĂ  aussi des mondes et lĂ , j'ai vraiment l'impression de m'ĂȘtre incarnĂ©e, en tout cas. En 2010, il y a eu effectivement cette chanson Je veux, qui vous a permis de rentrer directement dans le foyer des Français avec Kerredine Soltani. C'est Barcella qui signe la chanson Les jours heureux. Vous racontez le chemin parcouru, la lumiĂšre au bout du tunnel. Ce qu'il y a au bout est plus lumineux ? "C'est important de vivre le chemin." On veut toujours arriver au but, on a nos objectifs, des idĂ©es sur ce qu'on devrait avoir ou sur ce qu'on devrait ĂȘtre et en fait, on se plante. Du coup, on n'est plus vraiment lĂ . Il suffit juste de vivre le chemin et c'est ça que je raconte dans Les jours heureux, c'est que la vie, il faut la vivre. Il n'y a pas juste Ă  prendre ce qui est beau, il y a tout Ă  prendre, parce que ce qui est moins beau fait aussi partie de la vie et c'est ce qui permet aussi de voir les belles choses. Charles Aznavour confiait Ă  ce micro qu'il Ă©tait trĂšs fier que vous puissiez briller Ă  l'international, que votre nom soit en tĂȘte d'affiche. Ça vous touche, ça ? Lui me touche. J'avais une relation particuliĂšre avec Charles. Je ne peux pas l'expliquer. C'Ă©tait beaucoup de tendresse et quand il est dĂ©cĂ©dĂ©, ça m'a vraiment fait un gros choc. J'Ă©tais vraiment touchĂ©e Ă  un endroit profond. C'est quelqu'un qui, de par son vĂ©cu et son histoire a racontĂ© l'humanitĂ©, la relation Ă  soi-mĂȘme, la relation aux autres, l'humain. Il y a comme une filiation d'humains, de chansons, d'artistes. Racontez-moi la chanson Ce que tu es dans ma vie qui est juste extraordinaire. Il y a beaucoup d'auteurs qui ont travaillĂ© sur cet album dont Ben MazuĂ©. Quand j'ai reçu cette chanson, j'ai juste changĂ© un ou deux mots dont le nom. En fait, j'ai une belle-fille, c'est nouveau dans ma vie, c'est une relation particuliĂšre qui n'a pas de nom. Je ne peux pas vraiment mettre des mots dessus parce que cela se construit au jour le jour. Quel regard avez-vous sur votre parcours ? Je me dis je suis en vie ! Zaz sera en concert le 7 avril Ă  Annecy, le 9 Ă  Strasbourg, le 10 Ă  Vichy, les 16 et 17 avril Ă  la Salle Pleyel etc
 LapiĂšce de théùtre "Le plus beau dans tout ça" avec RĂ©gis LaspalĂšs, Pauline LefĂšvre, AgustĂ­n Galiana C8 - "Le plus beau dans tout ça" ce samedi Ă  21h05 sur C8 Log In
Quelques jours avant le lancement de la saison 3 de "The Handmaid's Tale", AlloCinĂ© rencontrait Amanda Brugel Ă  New York, qui nous parlait de Rita, de l'importance des Marthas dans cette saison et Ă©voquait le dernier Ă©pisode... Sans rien spoiler ! Sophie Giraud/Hulu Les Marthas ont un rĂŽle plus important cette saison... Amanda Brugel Cette saison de The Handmaid's Tale a pris un tour un peu inattendu pour moi. On ne voit pas vraiment quelle est l'implication exacte de Rita dans la rĂ©sistance avant la fin. Ce que l'on voit, c'est la relation entre Serena et Rita. Je pense que Rita a un peu le syndrome de Stockholm, ce sont les deux femmes qui ont toujours Ă©tĂ© dans la maison donc pour le meilleur ou pour le pire, il doit y avoir un lien entre elles deux. Je crois que Rita s'est sentie coupable d'avoir Ă©tĂ© impliquĂ©e dans le dĂ©part de Nichole. Ayant perdu son propre enfant, elle devient presque une figure maternel pour Serena Joy. J'adore l'idĂ©e qu'on puisse, bien qu'Ă©tant trĂšs diffĂ©rentes, travailler ensemble et s'entendre. C'est un Ă©lĂ©ment trĂšs important cette saison, dans les diffĂ©rentes relations entre les femmes, certaines amitiĂ©s trĂšs inattendues se nouent – Moira et Emily par exemple – et c'est un beau message pour les femmes qui nous regardent. La sĂ©rie diverge de plus en plus du roman de Margaret Atwood. En tant que vĂ©ritable connaisseuse de ce matĂ©riau original [Amanda Brugel a Ă©crit un mĂ©moire Ă  l'universitĂ© sur La Servante Ă©carlate], avez-vous eu du mal Ă  l'accepter ? Au dĂ©but, j'ai vraiment luttĂ© pour accepter ce qui se joue entre Rita et Serena, je me demandais comment faire, et puis, j'ai vu Melania Trump aux infos et quelque chose m'a frappĂ©e. Évidemment je ne sous-entend pas de parallĂšle entre elle et Serena, mais c'est une femme pour laquelle je n'ai pas vraiment d'empathie, mais d'un coup, je regardais son langage corporel et je me suis dit que j'aimerais vraiment pouvoir discuter avec elle, de femme Ă  femme, de ses sentiments, de ce que c'est d'ĂȘtre mariĂ© Ă  cette personne. Et je n'imaginais pas vivre dans la mĂȘme maison que cette femme pendant des annĂ©es et ne pas nouer de relation avec elle. En fin de compte, ça m'a aidĂ©e Ă  avoir plus d'empathie dans la vraie vie et finalement j'ai adorĂ© la direction que prenait cette relation. On a tous du mal Ă  savoir ce que ça implique de devoir survivre et ce qu'on ferait dans la situation de ces femmes Ă  Gilead. Ce que j'aime vraiment dans l'Ă©criture de la sĂ©rie, c'est que les scĂ©naristes racontent des histoires de survie trĂšs diffĂ©rentes Rita garde la tĂȘte froide, June veut mettre le monde Ă  feu et Ă  sang, Serena est mĂ©thodique... Cela permet d'explorer diffĂ©rentes facettes de ce que peut ĂȘtre la survie dans un monde comme celui-ci. De qui seriez-vous la plus proche Ă  votre avis ? Je pense que je serais Serena Joy. Je suis un peu manipulatrice, et un peu psychopathe dans la vraie vie ! Rires TrĂȘve de plaisanterie, ce que j'aime dans ce personnage, c'est qu'elle est brillante et elle fera tout ce qu'il faut pour survivre. Les gens adorent June, son empathie, veulent s'identifier Ă  ce personnage, mais parfois, son empathie lui crĂ©e vraiment des problĂšmes. Serena est un requin, elle est beaucoup plus stratĂšge et mĂȘme insensible et je pense que parfois, c'est nĂ©cessaire. Cette saison est pleine d'espoir, je trouve. Plus que les prĂ©cĂ©dentes. Au cours des deux premiĂšres saisons, les Marthas ont Ă©tĂ© trĂšs discrĂštes, trĂšs silencieuses, on avait le sentiment qu'elles n'Ă©taient pas utilisĂ©es Ă  leur juste valeur. Avec la saison 3, on a l'impression que c'est enfin leur moment. Vous deviez attendre ça depuis longtemps ? Oui ! C'Ă©tait un vrai challenge d'ĂȘtre dans une sĂ©rie si bien Ă©crite en ayant aussi peu de texte. Au dĂ©but, c'Ă©tait simplement "Oui, madame" ou "Non, madame". Mais cela m'a permis de crĂ©er les bases du personnages, parce que c'Ă©tait mon corps qui devait parler, mon regard. En ayant davantage de rĂ©pliques dans cette saison, j'ai l'impression d'avoir vraiment quelque chose Ă  donner. Ce n'est pas une quantitĂ© considĂ©rable de texte, mais on voit toute la bontĂ© de Rita. Le dernier Ă©pisode de la saison est le plus beau que j'aie jamais tournĂ© de ma vie et je n'ai presque aucune rĂ©plique. C'est le rĂŽle le plus difficile qu'on m'ait donnĂ© Ă  jouer, physiquement, mentalement, Ă©motionnellement. MĂȘme si les Marthas sont mises beaucoup plus en avant, elles restent encore un mystĂšre, et je trouve cela vraiment bien. L'intrigue prend-elle un tour inattendu en ce qui concerne les Marthas ? Oui, mais c'est ce que j'aime justement. Je pense que les spectateurs croient qu'ils ont compris, qu'ils savent dans quelle direction on va aller. Je pense que la plupart des gens se sont dit que mon personnage allait ĂȘtre le leader de ce rĂ©seau souterrain, alors que je n'arrive vraiment qu'Ă  la toute fin de la saison et c'est super, car cela permet Ă  d'autres Marthas d'ĂȘtre mises en lumiĂšre et au public de les dĂ©couvrir Beth, Sienna... On a toutes une personnalitĂ© diffĂ©rente et les gens peuvent enfin connaĂźtre les Marthas, dans leur ensemble et en mĂȘme temps en tant qu'individu et peuvent enfin s'y attacher. Les Servantes sont des esclaves sexuelles, mais les Marthas sont vraiment tout en bas de l'Ă©chelle. Pendant ma premiĂšre annĂ©e de tournage, les gens me rentraient dedans, littĂ©ralement, car ils ne pouvaient pas me voir tant mon costume est terne. Au moins, les Servantes ont de la valeur aux yeux de Gilead, dans une certaine mesure. Les Marthas, elles, n'en ont aucune. C'est pour cela qu'il y a un peu d'animositĂ© entre les deux groupes et la maniĂšre dont toutes ces femmes s'unissent pour la libertĂ© dans la saison 3 est d'autant plus bouleversante. Selon, cela reflĂšte aussi la rĂ©alitĂ© ? Bien sĂ»r. Je ne pense pas que les scĂ©naristes aient pu anticiper ce qui allait se passer aux Etats-Unis, Ă  quel point il allait devenir important pour les femmes de s'unir, mais c'est un commentaire de tout ce que les femmes ont accompli avec le mouvement MeToo. Voir ces groupes de femmes s'unir pour la mĂȘme cause est quelque chose qui, Ă  mon avis, va inspirer les spectateurs de la sĂ©rie. Cette saison est pleine d'espoir, je trouve. Plus que les prĂ©cĂ©dentes. La bande-annonce de l'Ă©pisode 12, disponible dĂšs demain sur OCS
AyantchutĂ© Ă  la premiĂšre sortie, le temps de rĂ©parer le vĂ©lo, j'ai pris le mulet. C'est lĂ  que je me suis rendu compte que je ne veux du tout rouler avec des plateaux ronds, surtout en Nouvelles Publireportage Archives Centre publicitaire Nous joindre Facebook Twitter samedi 27 aoĂ»t 2022 ActualitĂ©s 2022-08-26 Lafarge veut rĂ©duire de 20 % ses Ă©missions d’ici 2030 2022-08-26 Un tournoi de golf permet d’amasser 85 000 $ pour le Complexe le partage 2022-08-26 Un DJ de La Prairie au sommet de son art Plus de nouvelles Faits divers 2022-08-26 Agression armĂ©e Ă  Sainte-Catherine 2022-08-26 VIDÉO - EnquĂȘte autour d'un nouveau-nĂ© dĂ©cĂ©dĂ© Ă  La Prairie 2022-08-26 Un Saint-Philippien sera honorĂ© pour le sauvetage de ses voisins Plus de nouvelles COVID-19 2022-08-16 QuĂ©bec annonce une campagne de vaccination massive 2022-07-15 COVID- 19 augmentation de l'achalandage dans les cliniques de vaccination 2022-07-07 Restons prudents, restons vigilants» - Christian DubĂ© Plus de nouvelles Sports 2022-08-25 Un Candiacois dĂ©croche l’or aux Championnats nationaux de flag-football 2022-08-24 Sur le monticule Ă  80 ans 2022-08-18 Un Dynamo de Candiac impressionne le Real Madrid Plus de nouvelles Culture 2022-08-26 Un DJ de La Prairie au sommet de son art 2022-08-22 La chanteuse Anissa Essalihi triomphe Ă  Saint-Ambroise 2022-08-18 Alex Francoeur reçoit 25 000 $ de sa banque pour donner au suivant Plus de nouvelles Opinion 2022-08-25 Billet d'humeur Ces petites choses 2022-08-24 Finalement, on s’en est pas trop mal tirĂ© 2022-08-23 GravitĂ© fĂȘte son 5e anniversaire Plus de nouvelles Contenu commanditĂ© 2022-08-17 Tout ce que vous devez savoir sur les solariums ! 2022-06-21 Chartwell Choisir les plaisirs simples de la vie Plus de nouvelles François Charron 2022-08-26 Pas besoin de plus d’espace que ça! 2022-08-26 Pas facile Ă  apprendre, notre langue française! 2022-08-25 Une chaise lĂ©gĂšrement trop Ă©troite Plus de nouvelles Automobile 2022-08-25 La canicule en Chine empĂȘche la recharge des vĂ©hicules Ă©lectriques 2022-08-25 Nous avons peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  vu le dernier exemplaire du Mazda MX-30 Ă©lectrique 2022-08-24 Plus de 280 000 Hyundai Palisade et Kia Telluride 2020 Ă  2022 rappelĂ©s pour risque d’incendie Plus de nouvelles Centre publicitaire Nouvelles Publireportage Archives Centre publicitaire Nous joindre Facebook Twitter VIDÉOS - Candiac en vedette dans La belle tournĂ©e Ă  TVA ModifiĂ© Ă  16 h 34 min le 18 mai 2022 L’équipe de tournage Ă©tait en rĂ©pĂ©tition Ă  la patinoire couverte du parc Haendel Ă  Candiac, le 17 mai. Photo Le Reflet - Audrey Leduc-Brodeur La mĂ©tĂ©o incertaine en ce dĂ©but de semaine a forcĂ© l’équipe de l’émission La belle tournĂ©e Ă  relocaliser son plateau de tournage prĂ©vu dans un verger de la MontĂ©rĂ©gie. GrĂące Ă  sa superficie et son toit en bois, la patinoire couverte du parc Haendel Ă  Candiac a pu accueillir Ă  la derniĂšre minute les camĂ©ramans, techniciens et artistes, le 17 mai. Pour la productrice de ce variĂ©tĂ© musical qui met les rĂ©gions du QuĂ©bec en valeur, ce revirement de situation s’est avĂ©rĂ© un mal pour un bien. En moins de 48 heures, tout Ă©tait rĂ©glĂ© avec la Ville de Candiac pour la location de la patinoire, a relatĂ© ValĂ©rie Beaulieu, qui a effectuĂ© du repĂ©rage le week-end dernier. À mon avis, il n’y a rien qui n’arrive pour rien. Ce lieu est trĂšs beau, mĂȘme magique.» GĂ©nĂ©ralement, la scĂšne est entourĂ©e d’un cadre gĂ©ant donnant l’impression que le tĂ©lĂ©spectateur observe une carte postale, a notĂ© la productrice. À Candiac, il n’a pas Ă©tĂ© possible de l’installer, notamment en raison du vent. Ce n’est pas la premiĂšre fois que nous devons modifier le site en raison de la mĂ©tĂ©o, a-t-elle fait savoir. Nous cherchons toujours des lieux avec un dĂ©cor attirant comme celui-ci ou ayant une valeur patrimoniale, par exemple.» Au passage du Reflet en aprĂšs-midi, les rĂ©pĂ©titions allaient bon train en vue du tournage en soirĂ©e. Au moment de publier, l’identitĂ© des artistes participants Ă©tait sous embargo. Le concept de l’émission permet nĂ©anmoins de savoir Ă  l’avance que chacun d’entre eux rĂ©side en MontĂ©rĂ©gie ou en est natif. Nous avons aussi tournĂ© des capsules avec les artistes et l’animateur Guy Jodoin Ă  Saint-Hyacinthe, Boucherville et Longueuil. Nous sommes limitĂ©s dans le temps, mais couvrir la MontĂ©rĂ©gie en deux jours se fait bien, a Ă©valuĂ© Mme Beaulieu. Nous avons parfois des rĂ©gions bien plus grandes Ă  couvrir.» DĂ©couvrir la rĂ©gion RencontrĂ© au parc Ă  Candiac, oĂč se dĂ©roulait un de ses entretiens filmĂ©s, Guy Jodoin a partagĂ© au Journal son bonheur renouvelĂ© de participer Ă  la deuxiĂšme saison de La belle tournĂ©e. J’adore faire de la tĂ©lĂ©vision, a d’abord confiĂ© celui qui joue Ă  l’écran depuis 32 ans. Puis, on m’a proposĂ© ce concept l’an dernier, alors que le QuĂ©bec Ă©tait confinĂ©. Je pouvais voyager d’une rĂ©gion Ă  l’autre et rencontrer des gens. Ça me donnait une libertĂ© que certains n’avaient pas dans leur cage dorĂ©e.» L’animateur et comĂ©dien n’a pas cachĂ© qu’il en connaissait peu sur Candiac et les environs. Il croyait d’ailleurs ĂȘtre plus informĂ© sur le tourisme dans sa province, mais pas du tout finalement», a-t-il avouĂ©. C’est la beautĂ© de La belle tournĂ©e. Ça me permet de visiter le QuĂ©bec au grand complet. Il y a tellement de lieux Ă  dĂ©couvrir, a-t-il fait remarquer. C’est sĂ»r que j’avais dĂ©jĂ  fait quelques tournages Ă  Longueuil et aux alentours, mais je n’avais pas eu cette chance. Nous en discutions d’ailleurs avec les membres de l’équipe Ă  quel point c’est incroyable ici.» Le vent et la pluie qui se sont abattus sur la rĂ©gion lundi ne lui ont pas permis d’apprivoiser rapidement son environnement de travail temporaire. Il a pu davantage le faire mardi, alors que le soleil s’est pointĂ© le bout du nez. Je suis arrivĂ© trĂšs tĂŽt Ă  la patinoire pour m’imprĂ©gner des lieux, a-t-il indiquĂ©. C’est important qu’on soit Ă  l’extĂ©rieur parce que l’émission est synonyme de paysage, qu’il fasse beau ou qu’il grĂȘle, mĂȘme. C’est ça la mĂ©tĂ©o au QuĂ©bec, aprĂšs tout!» L’épisode sur la MontĂ©rĂ©gie sera diffusĂ© le lundi 27 juin Ă  TVA. La liste des artistes participants sera dĂ©voilĂ©e une semaine Ă  l’avance, a prĂ©cisĂ© la productrice. MĂȘme si la patinoire est couverte d’un toit, on se sent Ă  l’extĂ©rieur et on parvient Ă  mettre en valeur les paysages de la rĂ©gion.» -ValĂ©rie Beaulieu, productrice Concept La belle tournĂ©e est rĂ©alisĂ©e depuis 2021 par TVA et TĂ©lĂ©-QuĂ©bec en partenariat avec le gouvernement du QuĂ©bec. Pour cette deuxiĂšme saison, 14 rĂ©gions, dont sept nouvelles, sont mises en valeur Ă  raison d’un Ă©pisode par territoire. Parmi les invitĂ©s annoncĂ©s cette annĂ©e, notons la prĂ©sence de Corneille, Coeur de pirate, François PĂ©russe, Mariana Mazza, Rachid Badouri et Les Trois Accords. En plus des performances sur scĂšne pour certains d’entre eux, les rencontres avec l’animateur Guy Jodoin donneront lieu Ă  des moments propices Ă  la confidence, aux anecdotes.» Des capsules historiques agrĂ©mentent aussi le variĂ©tĂ© d’une heure.
Leplus beau village: Holtzwihr, ça tourne et ça tourne Écouter. Écouter (02min) Facebook. Twitter. Sms. Mail. Le plus beau village. Du lundi au vendredi à 11h50, 15h30 et 18h50 Par Guy
l'essentiel Plusieurs scĂšnes d’un court-mĂ©trage intitulĂ© "Tout ne va pas si mal" sont en train d’ĂȘtre tournĂ©es dans le centre-ville d’Agen. le tournage durera jusqu’à vendredi. La prĂ©fecture du dĂ©partement va de nouveau servir de cadre Ă  un film de cinĂ©ma. En effet, le rĂ©alisateur Nicolas Novak a choisi Agen pour son court-mĂ©trage "Tout ne va pas si mal". "Il avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© sur des tournages Ă  Agen, avec une autre casquette, celle de directeur de production. Quand il a lancĂ© son projet, il nous a tout de suite contactĂ©s", explique HervĂ© Bonnet, le directeur du Bureau d’accueil de tournage BAT47. Depuis ce lundi soir, les camĂ©ras du rĂ©alisateur donnent vie Ă  l’histoire d’Alicia et de Teddy, deux jeunes dans la vingtaine qui se rencontrent un soir pour la premiĂšre fois dans un snackbar aprĂšs avoir discutĂ© sur Internet. "Tour Ă  tour, les personnalitĂ©s se dĂ©voilent, et chacun apprĂ©hende le regard de l’autre
", confie le BAT47. En effet, ce film entend aborder la question du racisme social Ă  l’heure des sites de rencontre en ligne, "avec une grande finesse et sans manichĂ©isme". Un dĂ©partement de cinĂ©ma Qui dit rencontre au bar, dit tournage au bar, le lieu n’est pas encore dĂ©voilĂ©, mais cela aura lieu Ă  Agen. D’ailleurs, HervĂ© Bonnet assure aux Agenais qu’ils pourront reconnaĂźtre leur ville dans les plans de "Tout ne se passe pas si mal". Et ce n’est pas la premiĂšre fois que la ville prĂ©fecture sert ainsi de dĂ©cor Ă  une Ɠuvre cinĂ©matographique. Souvenez-vous, en 2017, c’est ici que StĂ©phane BrizĂ© avait tournĂ© son long-mĂ©trage "En guerre", avec Vincent Lindon. Plus gĂ©nĂ©ralement, le Lot-et-Garonne sĂ©duit de plus en plus les rĂ©alisateurs. "Rien que cette annĂ©e, nous aurons peut-ĂȘtre trois longs-mĂ©trages tournĂ©s dans le dĂ©partement", se rĂ©jouit le directeur du BAT47. Et le tournage de "Jour de gloire", film unique en son genre, tournĂ© et diffusĂ© en temps rĂ©el sur ArteTV, au soir du second tour de l’élection prĂ©sidentielle, a marquĂ© un virage dans la stratĂ©gie du Bureau d’accueil des tournages, comme l’explique HervĂ© Bonnet. "Traditionnellement, on fait plutĂŽt du long-mĂ©trage, mais on cherche Ă  se diversifier, avec des fictions TV et des sĂ©ries", dĂ©taille ce dernier. Le BAT47 hĂ©berge aussi des artistes dans le cadre de rĂ©sidences d’écriture au mois d’aoĂ»t full circle lab. Un cercle vertueux qui parvient Ă  faire Ă©clore de beaux projets sur le territoire. "2022 sera une trĂšs bonne annĂ©e pour le cinĂ©ma lot-et-garonnais", se satisfait-il. Le fruit d’un travail d’une dĂ©cennie au service des projets cinĂ©matographiques. "Je pense qu’aujourd’hui, notre savoir-faire est reconnu", conclut le directeur du Bureau d’accueil de tournage en Lot-et-Garonne HervĂ© Bonnet.
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Alorsque l'arche d'été d'"Ici tout commence" se poursuit sur TF1, Mikaël Mittelstadt se confie sur le tournage de cette intrigue loin de l'institut, sur le

Asseyez-vous confortablement, l’école de cirque Le Nez dans les Ă©toiles pourrait bien vous mettre des Ă©toiles plein les yeux. Chapiteau dressĂ©, parquet vissĂ©, spectacles rĂ©visĂ©s, la tournĂ©e de l’école de cirque berruyĂšre est plus que bien lancĂ©e. Tous les deux ans, on se met en condition itinĂ©rante, rĂ©sume Ingrid Diard, directrice. C’est une partie essentielle de la culture circassienne, la vie en collectivitĂ©. On sĂ©lectionne les numĂ©ros les plus aboutis parmi nos 250 Ă©lĂšves de tout Ăąge et on part pour cinq jours plutĂŽt intenses. » VoilĂ  comment toute une troupe de quatorze artistes quinze le soir puisque l’une des membres travaille la journĂ©e et d’une smala de bĂ©nĂ©voles au diapason a investi le stade de BrĂ©cy mercredi et jeudi avant de prendre la direction de Levet oĂč deux nouvelles reprĂ©sentations auront lieu demain et dimanche. Aujourd’hui, en revanche, journĂ©e off »  mais pas de repos pour autant. On transporte tout le matĂ©riel, c’est une logistique trĂšs lourde », confie la directrice. Alors, forcĂ©ment, pour construire, ranger ou trier le matĂ©riel, on a beau ĂȘtre un as du monocycle ou du trapĂšze, on participe Ă  l’installation du campement comme tout le monde. La tournĂ©e de l'Ă©cole du cirque de Bourges le Nez dans les Ă©toiles » dĂ©bute le 13 juillet On aide comme on peut, expliquent Émilie et Judith dont les numĂ©ros de tissu aĂ©rien et de trapĂšze ont Ă©tĂ© retenus. On peut donner un coup de main en cuisine, dĂ©charger le camion, il faut ĂȘtre polyvalent. » Les fortes chaleurs de ces derniers jours ne les ont pas freinĂ©es. À choisir, on prĂ©fĂšre ça que de la pluie. » Avant mĂȘme les reprĂ©sentations du soir, tout semble rĂ©glĂ© comme du papier Ă  musique. C’est une vraie petite ruche », convient Éric Villatte, prĂ©sident de l’association qui dĂ©cline une organisation hiĂ©rarchisĂ©e. Au sommet du chapiteau, Ingrid Diard joue les funambules et Ă©tend la banniĂšre de l’association. Julien et sa certification de monteur de chapiteau gĂšre les travaux que GuĂ©rino Simonelli, Ă  l’origine de l’école en 1997, ne manque pas de superviser. Enfin, en bon animateur, Sacha Simonelli dispense ordres et conseils Ă  qui veut bien entendre
 mĂȘme si Louis, jeune artiste du monocycle de 15 ans, Ă©vite la tĂąche en bon acrobate Il y a assez de monde, sourit-il, on ne va pas s’entasser. » En tout, deux heures et demie sont nĂ©cessaires uniquement pour monter ce fameux chapiteau central qui peut accueillir jusqu’à 200 personnes. Recevez par mail notre newsletter loisirs et retrouvez les idĂ©es de sorties et d'activitĂ©s dans votre rĂ©gion. Comme de nombreux autres Ă©vĂ©nements, cette tournĂ©e a dĂ» baisser pavillon en 2020 et 2021 pour cause d’épidĂ©mie de Covid-19. La derniĂšre remonte donc Ă  trois ans. De quoi voir une majoritĂ© de nouveaux venus pour cette huitiĂšme Ă©dition depuis 2006. Le Nez dans les Ă©toiles, c’est de 6 Ă  77 ans, rappelle en premier lieu Ingrid Diard. Mais il est certain qu’aux alentours de 18 ans, on en perd beaucoup au profit des Ă©tudes, oĂč les possibilitĂ©s sont plus rares Ă  Bourges. Et forcĂ©ment, la technique est plus aboutie pour les jeunes de 15 ans qui ont parfois dĂ©jĂ  10 ans de cirque derriĂšre eux. » À l’énoncĂ© des pratiques jouĂ©es devant le public, la dĂ©cennie d’entraĂźnement ne paraĂźt pas ĂȘtre de trop antipodisme, cercle aĂ©rien, trapĂšze, monocycle, corde amĂ©ricaine, rouleau amĂ©ricain et autres
 Dans la famille circassienne, on demande souplesse, agilitĂ© et Ă©quilibre, rien que ça. Mais paradoxalement, cette partie physique n’apparaĂźt pas au sommet des vertus de la discipline. Nous sommes plus proches de la culture que du sport, explique Éric Villatte. Certes, c’est trĂšs physique et il faut beaucoup de travail mais la mise en scĂšne reste primordiale. Ça mĂ©lange les costumes, les lumiĂšres ou les musiques. Une technique moindre mais une mise en scĂšne irrĂ©prochable rendra mieux que l’inverse. » Il n’empĂȘche que la performance reste au cƓur de cette virĂ©e itinĂ©rante. C’est Ă  elle que chacun doit sa prĂ©sence. Trouver ses limites et les dĂ©passer intervient alors comme un mot d’ordre pour ceux dont les numĂ©ros ont Ă©tĂ© retenus. C’est une rĂ©compense. Savoir qu’on fait du bon travail, ça fait plaisir », rĂ©sumait MattĂ©o, monocycliste lui aussi. Toujours dans cette discipline du vĂ©lo monoroue, Maxime revient sur le mode d’entraĂźnement au cirque C’est un entraĂźnement une fois par semaine, d’environ une heure et demie depuis dix ans. Moi, c’est le mercredi mais Louis, avec qui je fais le spectacle, c’est le samedi. Donc, on a improvisĂ© un numĂ©ro. » De la franche camaraderie L’occasion est trop belle pour ne pas en profiter. Vivre une vie circassienne dans sa forme la plus Ă©purĂ©e reste peu commun. Émilie, en train de gonfler le matelas dans sa tente, revient sur l’esprit d’équipe, plus visible que jamais dans cette tournĂ©e On se connaĂźt plus ou moins tous, mais lĂ , c’est vraiment l’occasion de se fĂ©dĂ©rer tous ensemble. On a bien prĂ©parĂ© ça, on a posĂ© des affiches ensemble, on s’est entraĂźnĂ© devant certaines Ă©coles de BrĂ©cy et Levet pour ĂȘtre prĂȘts. » Le terme colonie de vacances est Ă©videmment Ă  bannir mais la franche camaraderie est palpable au contact des adolescents, et encore ce n’est rien en comparaison de la clĂŽture de la semaine. Souvent, on a des pleurs Ă  la fin, se remĂ©more BĂ©atrice, prĂ©sente, depuis deux dĂ©cennies dans l’association avec ses enfants dĂ©sormais grands. C’est tellement intense physiquement et Ă©motionnellement, ce ne sont que de bons souvenirs. » Aujourd’hui concentrĂ©e sur la tĂąche alimentaire, BĂ©atrice, monocycliste Ă  ses heures perdues, ne galvaude pas son rĂŽle. On fait des menus Ă©quilibrĂ©s avec des produits frais, des lĂ©gumes et des fruits. C’est important. » Le premier soir, spaghettis bolognaises au menu, avant la reprĂ©sentation. Un peu lourd ? Quand on appelle Ă  table, vers 18 h 45 c’est dans l’instant, rigole Ingrid Diard. Ceci dit, il faut qu’ils prennent des forces. » Souvent, on a des pleurs Ă  la fin. C’est aussi intense Ă©motionnellement » Tentes, cuisines mais aussi hygiĂšne Ă  prendre en compte. D’oĂč des recherches de lieu lĂ  aussi travaillĂ©es bien en amont. Toilettes et douches doivent ĂȘtre prĂ©sentes, rien de mieux dĂšs lors que les stades. Bruno MarĂ©chal, maire de Levet a, en tout cas, optĂ© pour cette solution Habituellement je refuse les cirques car il y a souvent des dĂ©gĂąts au moment du dĂ©part. Mais pour l’école de cirque de Bourges, on a acceptĂ©. On a mis Ă  disposition le terrain d’entraĂźnement et les vestiaires. AprĂšs le 14 juillet, ça permet de faire vivre un beau week-end Ă  la commune. » Les visiteurs ont parfois une mĂ©connaissance totale de ce monde du cirque. Une donnĂ©e assez rare pour les nouveaux participants. On a l’habitude de faire quelques galas Ă  chaque fin d’annĂ©e, rappelle Hippolyte mais c’est souvent des parents ou des anciens qui nous regardent. Certains ont fait des comitĂ©s d’entreprise ou des passages devant le public des basketteuses de Bourges mais ça reste trĂšs rare. » Ça apporte le lot d’adrĂ©naline qu’il faut pour se surpasser, note de son cĂŽtĂ© Éric Villatte. Les recettes de la tournĂ©e permettront la rĂ©alisation de futurs Ă©vĂ©nements. Un avenir plutĂŽt radieux au vu du dynamisme des jeunes enfants prĂ©sents, toujours prĂȘts Ă  crapahuter Ă  droite ou Ă  gauche et imiter leurs aĂźnĂ©s. Les enfants de la balle
 Matis Rapacioli Photos Matis Rapacioli et fournies par le nez dans les Ă©toiles * École de cirque de Bourges 34 Bis rue Henri Sellier. Dates Levet. Au stade, route de Saint-Germain-des-Bois. Samedi 16 Ă  20 heures et dimanche 17 Ă  15 heures. Tarif adulte 7 euros. Tarif enfant 4 euros. Infos et rĂ©servations au

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AprÚsdeux concerts à la basilique de Cherbourg, Laurent Voulzy jouera « sa 200e » ce vendredi 22 avril 2022 à Saint-LÎ. Il revient pour nous sur cette tournée exceptionnelle.
C'est parti. Les Ă©pisodes 77 et 78 de la sĂ©rie de TF1, Profilage, sont en tournage Ă  BrĂ©zĂ© jusqu'au lundi 20 fĂ©vrier. Lundi soir, le maire de Saumur, Jean-Michel Marchand, accueillait toute l'Ă©quipe de la sĂ©rie en mairie. Vous ĂȘtes Ă  Saumur, une ville bercĂ©e par la Loire, rythmĂ©e par le cheval, sans oublier ses vins et bien Ă©videmment son magnifique chĂąteau. » AprĂšs seulement quelques heures passĂ©es en Saumurois, le producteur de Profilage, StĂ©phane Marsil , partageait cet avis Nous sommes ravis de pouvoir venir profiter de votre rĂ©gion, tout en travaillant. » L'Ă©quipe de cette sĂ©rie policiĂšre restera neuf jours dans le Saumurois dont sept jours de tournage intensif. Le scĂ©nario l'Ă©quipe de recherche vient passer quelques jours dans le Saumurois pour se ressourcer et renforcer ses liens dans un hĂŽtel. Il dĂ©couvre, par hasard, le corps d'une femme enceinte blessĂ©e et dĂ©cide, malgrĂ© tout, de mener l'enquĂȘte... Il est rare que nous quittions Paris pour nos tournages. Nous avons voulu pousser les acteurs Ă  sortir de leur zone de confort, explique Sophie Lebarbier, scĂ©nariste de la sĂ©rie depuis huit ans dĂ©jĂ . Et ici tous les ingrĂ©dients sont rĂ©unis, notamment avec les scĂšnes qui seront tournĂ©es dans les troglos qui donneront une intensitĂ© dramatique. » Pour ces Ă©pisodes hors les murs parisiens, le Saumurois et ses atouts vont ĂȘtre mis en avant. Les tournages se font ici Ă  BrĂ©zĂ©, mais aussi dans le vignoble entre Parnay et Montsoreau, indique Jean-Maurice Bellayche, producteur dĂ©lĂ©guĂ© sur le Saumurois. Nous avons choisi de mettre en avant les lieux esthĂ©tiques du vignoble. » Rendez-vous pour dĂ©couvrir le rĂ©sultat dans quelques mois devant la petite lucarne. Article paru le 15/02/2017 dans Ouest France Voir sur le site
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