Les concerts sur la voie publique ne seront pas autorisĂ©s en Meurthe-et-Moselle dimanche 21 juin pour la FĂȘte de la musique. Les forces de l'ordre seront fortement mobilisĂ©es. Par Amandine Mehl PubliĂ© le 17 Juin 20 Ă 1840 Une rue du centre-ville de Nancy noire de monde lors de la FĂȘte de la Musique 2018 ©Ville de NancyCovid-19 oblige, la FĂȘte de la musique prĂ©vue ce dimanche 21 juin se dĂ©roulera de maniĂšre inĂ©dite. Tellement inĂ©dite dâailleurs quâen Meurthe-et-Moselle, les concerts spontanĂ©s ne seront pas cause ? Les rassemblements de plus de 10 personnes, toujours interdits sur le domaine public, indique la forces de lâordre mobilisĂ©esPour ce qui est des concerts proposĂ©s dans les bars et restaurants, leur organisation relĂšve de la responsabilitĂ© de lâexploitant du lieu » dĂ©clare le prĂ©fet Eric Freysselinard, qui prĂ©cise toutefois La tenue de concerts est vivement dĂ©conseillĂ©e dĂšs lors que lâĂ©vĂ©nement est susceptible de gĂ©nĂ©rer des rassemblements non maĂźtrisĂ©s sur la voie de veiller au bon respect de ces directives, les forces de lâordre seront fortement Nancy, les musiciens aux balconsDe son cĂŽtĂ©, la Ville de Nancy lance un appel aux petites formes intimistes dans tous les quartiers de la ville. » Pour faire simple, quâils soient professionnels ou amateurs, les musiciens sont invitĂ©s Ă jouer de la musique depuis leurs balcons. Le tout bien Ă©videmment dans le respect des rĂšgles sanitaires et des rĂšgles de bon voisinage » indique la un mĂȘme temps, la Ville proposera de 16h Ă 21h une animation nommĂ©e Musique en wagon ». Durant cinq heures, le petit train touristique circulera dans les rues du centre-ville avec des musiciens Ă son bord. Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Lorraine Actu dans lâespace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute lâactualitĂ© de vos villes et marques favorites.
Samusique est toujours marquĂ©e de blues mais aussi dâun sens incroyable de la comĂ©die. Ă la trompette et au bugle, Clark improvisait dans une fausse langue, capable de tenir une conversation faite dâonomatopĂ©es et de scat. Puis il jouait « God Bless the Child» et vous tirait les larmes. JOE PASS « Mamma mia »Les cabarets et les bars Ă©taient Ă©galement les lieux par excellence de la vulgarisation de la musique camerounaise. AprĂšs des journĂ©es de dur labeur, hommes et femmes venaient dĂ©compresser et se dĂ©saltĂ©rer en Ă©coutant, en dansant sur de la bonne musique jouĂ©e en live par un orchestre gĂ©nĂ©ralement chevronnĂ©. Ces lieux de rĂ©jouissance vont mĂȘme devenir de vĂ©ritables laboratoires oĂč les jeunes musiciens venaient perfectionner leur talent, faire connaĂźtre leurs compositions, dĂ©velopper leur popularitĂ©, bref, Ă©muler et Ă©clore. Voici quelques bars ou cabarets qui ont marquĂ© la musique Camerounaise. â Le Flambeau Bar Douala Câest dans ce bar quâest nĂ© le mot âMakossaâ. En 1960, NĂ©llĂ© Eyoum jouait dans un bar au quartier BonĂ©lĂ©kĂš quâon appelait Ă lâĂ©poque flambeau bar et Ă lâangle de ce bar Ă©tait installĂ© un Ă©lectronicien qui rĂ©parait des appareils Ă©lectroniques radios etc.. CâĂ©tait un togolais qui avait Ă©pousĂ© une camerounaise. Ce monsieur maltraitait tellement sa femme quâun jour, cette derniĂšre est venue voir NĂ©llĂ© Eyoum pour lui expliquer ce quâelle endurait dans son foyer et surtout pour lui demander dâĂ©crire une chanson pour raconter son histoire. Câest ainsi que la chanson Motâa Ogono asi ma nanga ndabo » signifiant lâhomme dâOgono ne dort pas Ă la maison. Dans cette chanson, on parle de Basile [Diba la basile] ; du prĂ©nom du mari de cette Eyoum et son groupe ont commencĂ© Ă jouer cette chanson et cette derniĂšre a conquis le public parce que lâhistoire quâelle raconte est trĂšs touchante. Tous les soirs, les clients du flambeau bar rĂ©clamaient avec insistance cette chanson. Et pendant que les danseurs se trĂ©moussaient, NellĂ© Eyoum pour encourager les danseurs, ponctuait tout cela en lançant rĂ©guliĂšrement Kossa ! Kossa ! Kossa ! Alors, le mot Kossa » est devenu un Ă©lĂ©ment central de cette chanson si bien que le public qui rĂ©clamait cette chanson disait Ă prĂ©sent NĂ©llĂ© Eyoum, joue-nous nos Ma-kossa » â La Jungle Douala La jungle Ă©tait le cabaret le plus connu de Douala Ă une certaine Ă©poque. Il accueillait les personnalitĂ©s les plus huppĂ©es et nanties du pays. â Le mont Cameroun Bar Douala Câest un bar qui a vu dĂ©filer plusieurs pionniers de la musique Camerounaise. Dans ce groupe se produisait un groupe mythique appelĂ© âEwa Ewaâ. â Davum bar et Mermoz Bar Douala Câest au Davum Bar quâa Ă©tĂ© créé le groupe les black styls par Nkotti François. Le groupe Los Calvinos varavir la vedette aux Black Styls et sây Ă©tablir pendant un temps aprĂšs, le patron du cercle davum de la jeunesse rencontre des problĂšmes avec Los Calvinos et vient chercher Nkotti et son Ă©quipe qui jouaient dĂ©jĂ Ă Oryx bar. Il leur fait une proposition allĂ©chante. Le groupe est alors composĂ© de Nkotti François au chant, Toto Guillaume Ă la guitare solo, EssombĂš EnyawĂ© Antoine Ă la batterie, Emile KanguĂ© Ă la basse. Pendant plus dâune dĂ©cennie, le groupe rĂšgnera en maĂźtre sur Douala et ses environs. Le groupe se produit dans presque tous les grands bars et cabarets de Douala Mont Cameroun, Joie dâĂ©tĂ©, Oryx, Pachengo, Mermoz Bar etc. Câest dâailleurs au Mermoz bar que le groupe obtint en 1979 le contrat pour faire une tournĂ©e en France. Le promoteur de la tournĂ©e se nommait Alexandre Ebonock. â Oryx Bar Douala Lorsque les Black Styls vont quitter le Davum Bar, ils vont sâĂ©tablir Ă Oryx Bar. â Le Philanthrope YaoundĂ© CĂ©lĂšbre cabaret du quartier Mvog Ada, Ă YaoundĂ© qui a vu dĂ©filer toutes plus grosses pointures de la musique camerounaise de ces annĂ©es lĂ . Tous les grands musiciens de la ville de yaoundĂ© y ont fait leurs classes Mekongo PrĂ©sident, Moustick Ambassa, Ambroise Voundi, Vincent Nguini, Belinga Benâs, Mbida Douglass , Justin Bowen etc. â Moulin Rouge YaoundĂ© Le Moulin Rouge est lâancien âPhilanthropeâ. Mekongo PrĂ©sident a Ă©tĂ© chef dâorchestre de ce cabaret. â Colombey-les deux-Ă©glises et Mango Bar YaoundĂ© Le groupe Los Camaroes » est nĂ© Ă Maroua et sâest installĂ© par la suite Ă YaoundĂ© dans le quartier populaire Elig-Effa oĂč il animait le cabaret Mango Bar ». Elanga Maurice appelait Elamo » a Ă©tĂ© Ă un moment donnĂ© le principal rival de Messi Martin, dans ce quartier dâElig-Effa oĂč ils sâinstallent lâun et lâautre, dans deux cabarets qui se faisaient face, comme dans un dĂ©fi. Mango bar pour Messi et Colombey-les deux-Ă©glises pour Elamo. â Club Los YaoundĂ© Lorsque Messi Martin quitte Mango Bar pour venir sâinstaller au quartier Olezoa, câest le dĂ©but dâune longue traversĂ©e du dĂ©sert qui sâachĂšvera en 1979 lorsque Atangana Essomba crĂ©e le Club Los au quartier Nkoldongo dans lâoptique de rééditer lâexploit dâElig-Effa et y installe lâorchestre Los Camaroes . Orchestre composĂ© Ă lâĂ©poque de Messi Martin, Jean Gabari Ă la guitare rythmique, Dodo Eitel Ă la guitare solo, Sala Bekono, Johnny Cosmos RenĂ© Ahanda et Jean-Marie Ngouamba aux chants, Ojuku aux tumbas et Ringo Ă la batterie. â Escalier Bar YaoundĂ© Ce bar fut le temple de Ndo ClĂ©ment. Suite Ă la scission du groupe les Titans de SangmĂ©lima, Ndo ClĂ©ment perd la main mise sur escalier bar qui passe entre les mains de ses anciens compagnons, dĂ©sormais Les vĂ©tĂ©rans. Ainsi donc, non seulement Ndo ClĂ©ment perd presque tous ses Ă©lĂ©ments en plus, les Titans de Sangmelima cesse dâĂȘtre lâorchestre maison Ă Escalier bar. â Pezzena Bar Ce bar situĂ© au quartier Madagascar a vu passer plusieurs icĂŽnes de la musique Camerounaise dont Tchana Pierre par exemple. â Autres bars et cabarets mythiques de Douala Joie dâĂ©tĂ©, Mongo river, Akwa Club, le Domino etc. â Autres bars et cabarets mythiques de YaoundĂ© Chacal bar, LibertĂ© bar Mvog-ada, artisan bar, Black and White etc. La liste nâest pas exhaustive, complĂ©tez-lĂ ! Source Arol KETCH â
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